"Le directeur des concours de l'ENA, débarqué", barre en titre, le confrère Koaci, un site ivoirien d'informations générales. Selon ce site, Adjoumani Kouman Hyppolite ne serait plus à la tête de la direction des concours de l'ENA depuis le vendredi 13 septembre. Toutefois, il ne précise pas les motifs du débarquement du directeur Adjoumani Kouman Hyppolite, se contentant que l'information " n'est ni confirmée ni infirmée ".

Mais ce qui est notable, c'est que cette situation, si elle est avérée, intervient dans un contexte où 4571 candidats des cycles moyen, moyen-supérieur et supérieur frappent, ce mercredi 18 septembre, aux portes de l'ENA. Or depuis bien des décennies, cette prestigieuse école de formation de l'élite nationale d'administration, fait l'objet de murmures selon lesquels il faut débourser plusieurs millions de francs pour y entrer. Vrai ou faux ? Une chose est cependant évidente, c'est que depuis l'arrivée de la ministre de la ministre d'État, ministre de la fonction publique et de la modernisation de l'administration, Anne Désirée Ouloto, l'ENA fait l'objet d'une surveillance accrue, pour faire mentir les détracteurs. C'est la tolérance zéro ! D'ailleurs, la ministre Anne Désirée Ouloto l'a si bien indiqué lors du lancement des épreuves ce mercredi 18 septembre. Devant des candidats, elle a encore craché cet interdit qui interpelle et candidats et responsables de l'ENA. "Je suis venue rappeler aux candidats et aux organisateurs, la nécessité de tout mettre en oeuvre pour que l'ENA demeure un établissement de référence qui forme l'élite nationale de notre administration publique. On ne peut pas payer pour rentrer à la fonction publique. On ne peut pas payer pour rentrer à l'ENA. Nous surveillons ce concours comme de l'huile sur le feu", a martelé la ministre d'État Anne Désirée Ouloto. Adjoumani Kouman Hyppolite, le directeur des concours, s'est il comporté en marge de ces instructions ? A t il fait payer des candidats à ce concours ? Difficile de se prononcer sur cette affaire car comme le signifie notre informateur, "rien ne confirme ni n'infirme ce débarquement". Affaire donc à suivre.

Norbert Nkaka (Source : Koaci.com)

Informés, les agents de la brigade de gendarmerie se sont rendus sur les lieux le même jour pour le constat d'usage. Selon ses proches, depuis quelques années, Glohi Honoré (68 ans) souffrait de troubles mentaux. Souvent, comme nous a rapporté nos sources, il quittait très souvent le domicile familial pour des lieux inconnus. Il en revenait deux ou trois jours après" Cette fois-ci, nous l'avons cherché pendant cinq jours. Ce qui nous a inquiété et nous avons lancé des avis de recherches", nous a raconté Smelle Tahi, un jeune de ce village joint au téléphone. Son corps a été enlevé et remis aux autorités coutumières. La gendarmerie a néanmoins ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de ce décès. Il y a quelques mois un adulte originaire du village de Goya excédé par ses souffrances a préféré se donner la mort. Glohi Honoré s'est t-il donné la mort? Telle est a question à laquelle les fins limiers de la gendarmerie tenteront de trouver une réponse.

Osmose Kahiga ( correspondant régional)

Le ministre Adjé Silas Metch a indiqué qu'il est venu solliciter le soutien et la bénédiction des gardiens des us et coutumes afin de garantir le succès de cette autre organisation après la parfaite organisation de la Coupe d'Afrique des Nations de football en Côte d'Ivoire, du samedi 13 janvier au dimanche 11 février 2024 et remportée brillamment par le pays hôte. "C'est un honneur qui est fait à la Côte d’Ivoire qui a inventé le maracana, d'abriter la toute première édition de la Coupe du Monde de maracana. Avant de lancer la campagne de mobilisation, nous sommes venus porter l'information aux gardiens de nos traditions pour solliciter leurs prières. S'ils sont informés, cela veut dire que tous les villages seront informés", a-t-il justifié avant de lancer un appel à la mobilisation générale autour de cette compétition et des Éléphants maracaniers. Il à profité de cette rencontre pour rendre un hommage appuyé au chef de l'Etat, Alassane Ouattara d'avoir accepté l'organisation Quoique n'étant pas prévue dans le budget. "Avec le président Ouattara, la Côte d’Ivoire est véritablement positionnée sur le plan international. Vous savez que les États s'expriment en termes d'influence. La Côte d’Ivoire gagne toujours en influence avec le président Ouattara", a fait savoir le ministre Adjé Silas Metch. Pour sa part, le président de la Chambre des rois et chefs traditionnels, Nanan Tanoe Désiré a rassuré le ministre de son soutien et de celui de l'ensemble des gardiens des us et coutumes. Il l'a remercié pour sa démarche qui témoigne du respect qu'il accorde aux traditions. Le président de la Fédération ivoirienne de maracana et disciplines associées, Bleu Charlemagne, s'est également réjoui de cette visite du ministre Adjé Silas Metch aux têtes couronnées.

Norbert Nkaka ( Source : Cercom Mdscv)

Mambo Conconi Georges Faustin environ 26 ans, est un jeune innovateur. En plus de cette activité, il est également entrepreneur et chercheur. Pour lutter contre l’insalubrité et protéger l’environnement qui, mal entretenu, est source de maladie, il s’est spécialisé dans le recyclage des déchets plastiques (sachets usagers et bidons en plastiques hors d’usage et jetés à la poubelle etc.) et les déchets ménagers (peaux de banane, de manioc, bouteilles, des cartons etc.). Tous ces déchets qu’il collecte dans les poubelles ou même dans les rues sont utilisés pour la fabrication de pavés, de tuile pour la couverture des maisons et des briques. Avec les déchets ménagers que sont les cartons de poisson, les peaux de manioc, de bananes, des résidus de bois de sciage qu’on trouve souvent dans les scieries, Mambo Conconi fabrique de l’engrais bio pour l’agriculture et les jardins potagers. Rencontré le 4 septembre 2024 dans les locaux de la préfecture d’Alépé où il était pour expliquer ses activités aux autorités administratives, il a confié que c’est un don naturel. La collecte des déchets plastiques ou ménagers qui sont ses matières premières étant difficile, il a saisi cette occasion pour lancer un appel à l’endroit de bonnes volontés afin qu’il soit doté d’un tricycle pour pouvoir parcourir les différents endroits. En plus de ces déchets Mambo Conconi qui parle de son activité avec passion et détermination, informe également qu’il utilise les grains d’hévéa pour la fabrication d’une huile de qualité pour la consommation, la protection des cheveux contre les chutes et pour la peau comme pommade et, cette pommade selon lui, n’a pas d’effets secondaires. Au niveau de la cacaoculture ce jeune innovateur, entrepreneur et chercheur dit pouvoir utiliser les petites cabosses de cacao non formées et qui pourrissent sur les cacaoyers pour en faire une sauce délicieuse.. " J’ai des idées et mon talent est inné. Je veux donc vivre de mon art, être utile à mon département et à mon pays. J’envisage même de former à travers une école d’autres jeunes en quête d’un premier emploi. Pour l’heure, j’ai besoin d’un tricycle",a-t-il conclu.

Une correspondance particulière

Au prix des nombreux risques, le commissaire Ouattara et ses hommes ont rondement mené cette opération qui a porté ses fruits. Au quartier Toguehi, lieu privilégié de la pègre a été bouclé et des individus malveillants mis sous l'éteignoir.

Le mercredi 11 en effet, les flics informés de la présence suspectes de quatre individus dans une maison inachevée, se déportent sur les lieux non sans lancer de sommations. Évidemment, ils n'auront pas de difficultés pour mettre la main sur quatre suspects. Il s'agit Nahi E., Djédjé S., Ibrahim Y. La fouille corporelle de ces sinistres individus permet de saisir sur une importante quantité de drogue, composée de 118 boulettes de canabis, 5 téléphones portables ,un (01) lot de petits sachets transparents plastiques, servant à écouler la marchandise et la somme de cinq mille francs (5000F cfa). Interrogés, ces scélérats ont confié qu'ils vendent pour un certain Habib. Mais ce dernier est introuvable. C'est pourquoi ces individus ont été gardés à vue au commissariat de police avant leur déferement devant les tribunaux de Guiglo.

Osmose Kahiga ( Correspondant régional)