Kouassi Norbert dit Norbert Nkaka Koffi | 20/12/2024 | 291 vues
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Seconde Une
L’Union des journalistes pour la presse libre africaine (UJPLA) suit avec consternation la violente crise qui a récemment éclaté au Soudan. Le premier responsable de cette structure a rédigé une déclaration le dimanche 30 avril pour exprimer ses inquiétudes face à cette tragédie qui a déjà causé plusieurs morts et de blessés.
L’UJPLA est très préoccupée par le fait que les journalistes continuent de faire l’objet de menaces, d’attaques, de brutalités ou de représailles au Soudan. Certains journalistes restent sous surveillance et contrôle. La vie privée des femmes journalistes a été exploitée pour les intimider. Profondément attachée à la liberté de la presse et à la sécurité des journalistes sur tout le continent africain, l’UJPLA condamne avec la plus grande énergie toute action qui entraverait, mettrait en danger ou tenterait de réduire au silence le travail des reporters au Soudan. L’UJPLA réitère son soutien fraternel aux reporters et à toute la communauté des hommes et des femmes des médias au Soudan. L’UJPLA salue le travail des institutions civiles, telles que le Réseau des journalistes soudanais, le Réseau des médias soudanais et les Journalistes pour les droits de l’Homme, qui ont mis en place des mécanismes de suivi et de documentation des violations des droits des journalistes. L’UJPLA appelle toutes les parties à faire tout leur possible pour garantir la liberté de mouvement et la sécurité de tous les hommes et de toutes les femmes travaillant dans les médias au Soudan ou couvrant le conflit qui s’y déroule. L’UJPLA exhorte tous les journalistes actuellement au Soudan à continuer d’exercer leur profession en toute sécurité, avec responsabilité et professionnalisme.
Noël YAO, Président de l'Ujpla
Lundi 1 Mai 2023
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La 137 ème fête des travailleurs a été célébrée dans le monde entier ce 1 er mai. Une occasion propice pour les centrales syndicales de présenter les revendications et doléances au gouvernement ou aux représentants de l'État. Le préfet de la région des Grands Ponts, N'Zi Kangah Rémi a saisi cette opportunité pour amorcer bientôt un contrôle dans les services afin de déceler les employeurs qui ne respecteraient pas les actes du gouvernement relatif à l'application du Smic.
La fête s'est déroulée en deux temps. D'abord un défilé géant qui a vu le passage des différentes composantes des travailleurs : les représentants des centrales syndicales ( Ugtci, Fesaci, Ifci, dignité...), les associations de femmes, les commerçants, les couturiers, des établissements privés, les structures hôtelières mais surtout les entreprises agro industrielles très nombreuses dans la région. La deuxième étape des allocutions a été la plus riche. Le directeur régional de l'inspection du travail, Djédjé Serge Pacôme ouvre le bal. " Cette fête qui célèbre la dignité du travailleur est aussi une occasion de rencontre et de dialogue entre employés et employeurs", situera t il avant de dresser le bilan de ses activités en termes de contrôles et de visites sur le terrain. Place est ensuite donnée au porte-parole des centrales syndicales, Dembélé Dominique. Celui-ci a reconnu les efforts consentis par l'État pour alléger les charges des travailleurs. Toutefois il a égrené plusieurs revendications et doléances au nombre desquelles la revalorisation salariale, des primes de logements, le relèvement du prix des produits agricoles et surtout l'application effective du SMIC qui est de 75 000 f. En réponse au chapelet des revendications le préfet s'est visiblement senti interpeller par la mauvaise foi affichée par certains employeurs qui feraient preuve de résistance quant à l'application effective du SMIC, un acte pris par l'État ivoirien. " Il me revient à plusieurs reprises que des employeurs ne respecteraient pas les salaires conformément au SMIC. D'autres même ne déclareraient pas leurs agents à la Cnps. C'est une violation grave car aucun juge administratif ne peut se prononcer sur un acte de gouvernement. Séance tenante, je donne instruction au directeur régional de l'inspection du travail de diligenter un contrôle dès le mardi 2 mai afin de déceler tous les hors -la- loi. Parcourez toutes les entreprises et relevez tous les manquements afin de faire réparer toutes ces injustices. Faites votre travail et nous allons le transmettre à qui de droit", a insisté le préfet hors grade, N'Zi Kangah Rémi qui a par ailleurs rendu un hommage appuyé au gouvernement pour les avancées significatives à l'endroit des travailleurs. " Les avancées sont plus pesantes que les quelques difficultés. L'actif est donc supérieur au passif", a reconnu le premier responsable administratif de la région des Grands Ponts.

Le préfet de la région des Grands Ponts, N'Zi Kangah Rémi veut réparer le tort fait aux travailleurs
Il convient de rappeler que le thème de cette année est " Résilience et travail décent. Agir ensemble au service du travail pour l'amélioration des conditions de vie et l'inclusion"
Des femmes chauffeurs de bus, apprentis Gbaka et même mécaniciens, on en connaît en Côte d'Ivoire. Mais, elles sont rares et presqu' introuvables, ces conductrices de Yango. Nous avons surpris Y. M. la trentaine et titulaire d'un BTS en transport et logistique, au volant d'un Yango, le jeudi 27 avril. Pourquoi a- t -elle choisi ce métier ? Que gagne- t -elle ? Quelle sont les difficultés rencontrées ? ....Nous avons fait une véritable incursion dans le métier de cette femme.
C'est au détour d'une rue à Cocody Mermoz, aux environs de 20 he que nous activons notre application à l'effet de commander ce type de véhicule spécialisé. Environs 5 minutes plus tard, un véhicule flambant de marque Nissan immatriculé XXXX, stationne à notre niveau. Nous nous y installons pour Yopougon Siporex. Nous sommes tout de suite frappés par fraîcheur et surtout le parfum. Quelques minutes après, c'est une voix féminine qui nous adresse une salutation. " Mais c'est une femme qui est volant!", m'écriai-je, subjugué surtout lorsque j'identifie sa coiffe. Nous engageons alors une causerie pour nourrir notre curiosité. C'est là que nous découvrons tout le mystère de son métier qu'on croit être dévolu aux seuls hommes. Ses motivations aussi. " Nous sommes une quarantaine de femmes sur un projet qui concerne 300 femmes. Moi je suis titulaire d'un Bts depuis 2015. J'ai souscris à ce projet et cela fait 1 ans 3 mois que je conduis. Dans un an 9 mois, le véhicule me revient parce que nous travaillons avec les promoteurs comme des partenaires", nous confie t elle, indiquant que c'est la passion d'être au volant et la volonté de se battre pour gagner sa vie qui l'ont amenée à ce métier. " Je suis déclarée à la Cnps et le peu que je gagne me permet de me nourrir et assurer mon loyer. D'ailleurs j'avais postulé à la Sotra pour être machiniste. Malheureusement je n'ai pas été retenue", signifie Y. M. Comme tout métier Y. M. rencontre les difficultés notamment avec les forces de l'ordre, les conducteurs de Gbaka et même les hommes. " Les policiers nous fatiguent un peu parce qu'ils ne veulent pas du permis B. Les conducteurs de Gbaka nous considèrent comme des concurrents et endommagent parfois nos véhicules. Mais le gros problème, c'est la réticence des hommes. Certains refusent que les femmes les conduisent. Mais nous finissons par les dissuader", précise t elle. Y. M. qui brave ces difficultés et qui se fiche même de l'insécurité s'est fixé un objectif bien précis. Devenir une cheffe d'entreprise. "Moi, je sais où je veux arriver. Être cheffe d'entreprise avec 5 ou 10 véhicules. C'est possible. J'ai un programme de travail qui me permet de commencer à 8 h et descendre à 23 h. Je n'ai pas peur. Je roule même à Abobo à 22 h. La vie est un destin", tranche Y. M. qui soutient ne pas fléchir sous les jugements des détracteurs.
Pour terminer, elle demande aux jeunes filles de déserter les bars et maquis afin de tracer leur propre chemin. " Je pense à l'avenir de mes enfants. Il faut que les jeunes filles saisissent les opportunités pour tourner le dos à la facilité. Qu'est-ce qu'une femme peut avoir véritablement d'un homme aujourd'hui si elle ne fait rien? Rien. Il faut que la femme se batte si elle veut être libre et épanouie", lance t elle.
Norbert Nkaka
Le monde du livre s'est enrichi d'un nouvel ouvrage né de l'une des meilleures cliniques. De fait, "Rania" ou " Le choix qui a détruit ma vie", porte la griffe de Sara De Koffi, fille aînée de Michel Kouamé, ex Dg de Fraternité Matin et l'épouse du ministre du commerce, de l'industrie et de la promotion des PME, Souleymane Diarrassouba. La dédicace de ce livre s'est déroulée le jeudi 27 avril à la galerie Guirandou en présence d'éminentes personnalités.

L'épouse du ministre Souleymane Diarrassouba engage la lutte contre les grossesses en milieu scolaire
"Rania ou le choix qui a détruit ma vie" est un livre d'actualité qui touche particulièrement le monde de l'éducation. Il s'agit de l'épineuse thématique des grossesses en milieu scolaire. Tel un serpent de mer, ce phénomène déchire et bouleverse encore le milieu scolaire tant les jeunes filles victimes se comptent encore par milliers et encore. Selon les statistiques du ministère de l'éducation nationale et de l'alphabétisation, l'on a dénombré au titre de l'année scolaire 2021-2022 seulement, 3409 cas de grossesses en milieu scolaire. Les conséquences de ce phénomène vont de la déscolarisation à la mort en passant par les maladies sexuellement transmissibles et le Vih Sida. Pour l'écrivain ivoirien Venance Konan, "ce thème nous concerne tous. Car dans notre entourage ou même dans notre famille, la fille d'un parent a été victime de ce phénomène dont le résultat est irrémédiablement l'échec scolaire", déplore l'ex DG de Fraternité Matin présent à cette cérémonie de dédicace. C'est sans doute ce triste constat qui amène l'épouse du ministre Souleymane Diarrassouba à enfiler son gilet de sauvetage pour se jeter dans la mare. Son seul objectif, sauver la jeune fille des griffes des grossesses précoces ou indésirées qui risquent de " détruire leur vie". " L'histoire de Rania m'a été relevée. C'est une histoire vraie. J'ai voulu faire renaître cette jeune fille morte malheureusement pour sensibiliser le monde scolaire face aux grossesses précoces en milieu scolaire, un phénomène qui constitue un obstacle à la réussite scolaire. Amener les jeunes filles à opérer le bon choix et au bon moment", a dévoilé cette cheffe d'entreprise, passionnée de l'écriture. Pour ce qui est de la trame de ce livre " captivant et déchirant", c'est l'itinéraire tragique d'une jeune élève tombée très vite dans le ventre mou de l'aventure romantique de l'amour. Sans en mesurer ses tentacules, Rania est chaque jour dévorée par son aventure. Les grossesses s'enchaînent. Le rêve d'une vie scolaire épanouie et sanctionnée de beaux diplômes s'évanouit. C'est la mort assurée. Quel sort tragique ! Mais pourquoi Rania l'héroine meurt- elle ? Pour le critique Michel Koffi, la mort de Rania comprend 3 enseignements: l'échec scolaire, l'échec conjugal et surtout l'échec social. En clair, paraphrasant le poète Charles Pierre Baudelaire dans son poème "L'ennemi" extrait de son ouvrage "Les Fleurs du Mal", " La jeunesse de Rania ne fut qu'un ténébreux orage", dira Michel Koffi. En tout cas, pour Venance Konan, "c'est un livre d'éducation que je conseille aux élèves, aux parents, à l'éducation de tous. Cela aura ainsi un impact plus grand", soutient-il.
L'appel semble entendu dans la mesure où plusieurs établissements dont le lycée Sainte Marie, sollicitent séance tenante, l'auteure Sarah De Koffi à venir présenter son " nouveau bébé" aux élèves. " Je suis disponible à animer des conférences et des causeries-débats dans les différents établissements afin de sensibiliser le monde scolaire et éducatif sur les dangers des grossesses précoces", a -t elle rassuré lors de cette cérémonie de dédicace au cours de laquelle les nombreux invités, amis et parents se sont arraché le livre comme de petits pains. Notons que cet ouvrage de 19 chapitres a été préfacé par l'éminent journaliste ivoirien Yao Noël. Il a été édité par " Biographe édition" dirigée par Léba Jean Stéphane.
L'activiste et influenceur ivoirien plus connu sous le pseudonyme Général Makosso a été sévèrement recadré par le bureau des informations et de la presse des armées (Bipa) après que celui-ci eût brandi qu'il a été un enfant de troupes de la prestigieuse école militaire préparatoire technique de Bingerville (Empt). Une analyse du communiqué sanctionnant cette sortie brutale et inopportune de Makosso Camille.

L'activiste Camille Makosso
Faut il le dire, Camille Makosso a poussé le bouchon un peu plus loin dans ses prétentions et dans sa tentative de garder avec l'une des vitrines de l'éducation de base militaire sous régionale.Mais il a été vite freiné dans son élan.
"Dans une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux, un certain Camille Makosso prétend avoir été un pensionnaire de l'école militaire préparatoire technique de Bingerville, dans une tentative de justifier sa propension à arborer des tenues aux motifs", pourrait on lire dans ce communiqué signé du colonel Otchelio Gnahé Étienne, chef du bureau informations et de la presse des armées (Bipa), le 25 Avril. A la vérité, le premier responsable du service des informations des armées, certainement choqué par cette sortie " hasardeuse et inopportune" de celui qui se présente comme l'un des plus grands influenceurs, n'a pas attendu longtemps pour lui porter l'estocade et lui remettre "ses bretelles". Au demeurant, " Le Bipa invite instamment l'auteur(Camille Makosso) à s'abstenir d'associer son passé scolaire à cette prestigieuse école", menace l'officier supérieur. Tout simplement parce que Camille Makosso " n'a jamais fréquenté l'Empt et le souvenir de son séjour ne se trouve ni dans la mémoire des anciens ni dans les éphémérides de l'établissement", conclut le communiqué. En clair, l'activiste a été rappelé à l'ordre.
Norbert Nkaka
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